Changement de zone de navigation pour Amuitz qui est passé de la Grèce vers notre Atlantique traditionnel… Quelques images en vrac du bord d’Amuitz entre Preveza en Grèce, la Galice dans le golfe de Gascogne et l’arrivée en Bretagne (19 mai 23 juin). François a accepté de m’accompagner dans cette virée de 2500 milles avec au programme entre autres, la mer Ionienne, le détroit de Messine, la Sicile, la Sardaigne, l’Andalousie, le détroit de Gibraltar, l’Algarve, la remontée du Portugal avec ses fameux Alizés de nord et la Galice, dernier rdv avant de rejoindre la Bretagne. Le golfe de Gascogne a été bien musclé avec un front de SW qui nous a menés du cap Finistère jusqu’aux iles des Glénan. Stephane et Fanfan nous ont concocté la météo pour que ce convoyage se passe au mieux… ils sont venus nous rejoindre à bord. Amuitz se repose au chantier du Corniguel à Quimper.
Étiquette : AMUITZ
GRECE 2023
Mer Ionienne…
Un peu frais pour le mois d’Avril, mais les navigations ont commencé 🙂
Petite visite dans cette cité « île » proche du golfe de Patras…
Gros grain sur le mouillage…
Aprés la pluie, vient le beau temps…
GRECE 2022
Fabrication et remplacement d’une dérive en aluminium sur un « Cocaine 38 » de Joubert-Nivelt.
La dérive originale en aluminium ayant été remplacée par une en acier, nous avons décidé de revenir vers l’original, tel que dessiné par les architectes Joubert/Nivelt.
La dérive est composée d’une lame en aluminium marine Alcoa Nautic-Al.5083 de 15mm d’épaisseur prise en sandwich par deux renforts de 20mm qui reçoivent un tube manchonné en acétal et alésé.
L’ensemble est réalisé dans un atelier de mécanique générale. Découpe au laser, soudures, ajustages etc…
La pièce a été réalisée sur plans d’origine, sauf la partie recevant l’axe.
Cette partie a été usinée en reprenant les côtes sur l’ancienne afin d’éviter toute erreur et d’être certains qu’elle ira se loger dans son emplacement sans aucun problème.
Avant de remonter la nouvelle dérive, l’ensemble a été poncé puis traité par deux couches de barrière époxy et deux autres couches d’antifouling pour aluminium, au cas ou, même si la dérive est isolée de toute autre partie de la coque. Deux anodes sacrificielles ont été placées en partie basse de la lame d’aluminium. L’axe monté graissé, puis sécurisé à l’aide d’une goupille.
Guindeau Sun Legend 41, de la baille à mouillage vers le pont.
Il fallait donc revoir l’emplacement du guindeau, guindeau qui sert quotidiennement en grand voyage. Nous avons opté pour une découpe du capot de la baille à mouillage afin d’accéder au puits à chaîne facilement. Un moulage de la partie inférieure a été réalisé afin de récupérer le jeux qui existait entre le haut du support et la partie du capot pris en sandwich.
De cette manière le guindeau travaille correctement sur un support quasiment indestructible en époxy, fixé à la baille par des renforts et joints congés avant stratification.
Pour remédier à ce problème, nous avons fait appel à un spécialiste de l’époxy en la personne de Thierry du voilier New Life qui nous a fabriqué sur mesure un renfort costaud et placé le guindeau sur le pont, proprement.
Conséquence, une grande amélioration de l’utilisation du guindeau et la chaîne qui ne bourre plus. Le guindeau est démontable facilement et la baille à mouillage reçoit au besoin une ancre supplémentaire par le gain de place obtenue en sortant le guindeau.
Arcachon Hendaye sur un Aquila.
Navigation à la voile entre Arcachon et Hendaye. Juin 2015.
Arrivée en avion sur une île des Sanblas au Panama.
Arrivée en avion sur une île des Sanblas au Panama.
Chantier naval Thailande, spécialisé dans les bateaux de pêche en bois.
Chantier naval Thailande: mouvements de bateaux en accéléré.
Tour du monde à la voile, de la Nouvelle Calédonie vers l’Asie.
Chantier dans les Tuamotu, Apataki accueille des voiliers.
Dans les Tuamotu au coeur de la polynésie dans un atoll existe un chantier permettant la mise au sec des voiliers. Apataki est le nom de l’atoll. Nous avons testé la sortie d’un catamaran de plus de 14 mètres.
Huahine polynésie, escale tranquille.
Les escales en Polynésie sont en général très appréciées, la douceur de vivre, le climat, les polynésiens surtout, font que ces « stops » même brefs, restent gravés dans nos mémoires.
Mektoub
Rencontré en 2011 en Polynésie, aux Marquises puis dans les Tuamotu et dans les îles sous le vent, le voilier Mektoub qui s’appelait encore Itsasoan…
A son bord Benoît et Laure qui préparaient un retour vers la métropole en passant par le détroit de Magellan.
Nous avons revu Mektoub en Bretagne en Septembre 2014 quelques jours avant le nouveau départ programmé pour la Polynésie. A bord, en plus de Benoît et Laure, un moussaillon de 8 mois, Tom, qui renforcera l’équipage.
On essaiera de suivre la route de cette sympathique jeune famille.
Traversée du canal de Panama à bord de AMUITZ.
4eme fois que l’on passe le Canal de Panama… cette fois-ci à bord de notre propre voilier Amuitz…
Zoraostre
Rencontrés dans les îles des Sanblas voici des années, en 2007, Jean Louis et Sylvie Tramber à bord de leur sympathique Biloup de 10 mètres Zoraostre qu’ils ont aménagé à partir d’une coque nue de chantier.
Zoraostre connaît particulièrement bien les Sanblas pour avoir sillonné nombre de recoins parfois oubliés par les plaisanciers classiques. Le couple partage son temps entre le remplissage de la caisse de bord en Méditerranée et les navigations dans les Caraïbes. Nous les retrouverons avec plaisir des que l’étrave d’Amuitz fendra de nouveau les eaux des Caraïbes…
Traversée de l’Atlantique à la voile sur AMUITZ en 2005.
De Hendaye à Camarinas en Galice, juillet 2005.
Avant de partir du Pays basque, petite photo prise du haut du mat d’Amuitz… en bas, les copains venus nous souhaiter bon voyage.
Grand pavois pour Amuitz a Camarinas durant les fêtes de la mer.
23 Juillet 2005.
« Amuitz » poursuit sa lente descente vers le sud….
En Galice à Cedeira, Nahia qui nous a accompagné depuis Hendaye a repris le chemin du Pays basque.
C’est justement à Cedeira que nous avons croisé la route de deux bateaux d’aviron de mer qui naviguaient de concert. Nous en avons reconnu un au premier coup d’œil,
c’est « Ameriketatik » la trainière de Pasaia qui retournait au Pays basque en compagnie d’un autre bateau d’aviron.
Devant Bayona, dans la presque toute dernière baie de Galice, nous avons navigué sur les îles Ciés après avoir doublé l’île Ons.
Nos premiers dauphins nous saluent,
les premiers poissons mordent à la ligne.
Après la Galice, le Portugal est arrivé avec la fin des Rias tellement sympathiques.
L’occasion de troquer le pavillon espagnol pour le portugais.
Visite de Porto,
montée en haut du mat pour les vérifications d’usage et c’est reparti pour le sud.
19 juillet 2005.
Amuitz et son équipage sont au Portugal.
Première escale a Leixoes après une navigation dans 25 a 35 noeuds mais au portant et a bonne vitesse…
18 juillet 2005.
Mouillage a Bayona en Galice. En principe le dernier mouillage avant le Portugal. Bayona ville touristique ou Christophe Colomb aurait débarqué après la découverte des « Indes »…
14 juillet 2005.
Amuitz est au mouillage a Cedeira en Galice.
Tout va bien a bord, nous avons rencontre des amis pêcheurs locaux de Cedeira et de Celeiro, l’occasion d’un excellent repas de fruits de mer et bons poissons.