De Grèce vers la Bretagne.

Changement de zone de navigation pour Amuitz qui est passé de la Grèce vers notre Atlantique traditionnel… Quelques images en vrac du bord d’Amuitz entre Preveza en Grèce, la Galice dans le golfe de Gascogne et l’arrivée en Bretagne (19 mai 23 juin). François a accepté de m’accompagner dans cette virée de 2500 milles avec au programme entre autres, la mer Ionienne, le détroit de Messine, la Sicile, la Sardaigne, l’Andalousie, le détroit de Gibraltar, l’Algarve, la remontée du Portugal avec ses fameux Alizés de nord et la Galice, dernier rdv avant de rejoindre la Bretagne. Le golfe de Gascogne a été bien musclé avec un front de SW qui nous a menés du cap Finistère jusqu’aux iles des Glénan. Stephane et Fanfan nous ont concocté la météo pour que ce convoyage se passe au mieux… ils sont venus nous rejoindre à bord. Amuitz se repose au chantier du Corniguel à Quimper.

Dernière nuit au mouillage sur le paisible Odet.
Amuitz au chantier de Corniguel de Kemper en Cornouaille.
Grèce-Bretagne printemps 2024.

GRECE 2023

Mer Ionienne…

Amuitz en Grèce.

Un peu frais pour le mois d’Avril, mais les navigations ont commencé 🙂

Voisins.

Entre les îles.

Ris.

Quelques nuages le matin…
Petite marche autour de la baie de Astakos.

Petite visite dans cette cité « île » proche du golfe de Patras…

Gros grain sur le mouillage…

Aprés la pluie, vient le beau temps…

Croyances.

Petit et joli.

Le printemps à bord.
Sauterelle.
Bombages.
Fermé…
Bord de chenal.
Activité nuageuse.
Petit restau.
Au port.
Jardinière.
Lien entre les îles.
Ithaque.
Ikurrina.
Grain.
Kayak.
Fanfan…
Tout dessus.
Pleine lune.
Fanfan à la barre.
Pas beau temps.

GRECE 2022

Chaud devant…
Des moules au Ouzo…
Amuitz qui nous surveille…
Visite à bord d’Amuitz.
Meganisi…

Fabrication et remplacement d’une dérive en aluminium sur un « Cocaine 38 » de Joubert-Nivelt.

Ancienne dérive en acier.

La dérive originale en aluminium ayant été remplacée par une en acier, nous avons décidé de revenir vers l’original, tel que dessiné par les architectes Joubert/Nivelt.

La dérive est composée d’une lame en aluminium marine Alcoa Nautic-Al.5083 de 15mm d’épaisseur prise en sandwich par deux renforts de 20mm qui reçoivent un tube manchonné en acétal et alésé.

Tête de dérive alu.

L’ensemble est réalisé dans un atelier de mécanique générale. Découpe au laser,  soudures, ajustages etc…

Manchons de dérive.

La pièce a été réalisée sur plans d’origine, sauf la partie recevant l’axe.

Manchons ajustés

Cette partie a été usinée en reprenant les côtes sur l’ancienne afin d’éviter toute erreur et d’être certains qu’elle ira se loger dans son emplacement sans aucun problème.

Alésage des manchons de dérive.

Axe en inox

AMUITZ au sec en Méditerranée. Carénage. 2017.

Avant de remonter la nouvelle dérive, l’ensemble a été poncé puis traité par deux couches de barrière époxy et deux autres couches d’antifouling pour aluminium, au cas ou, même si la dérive est isolée de toute autre partie de la coque. Deux anodes sacrificielles ont été placées en partie basse de la lame d’aluminium. L’axe monté graissé, puis sécurisé à l’aide d’une goupille.

 

Guindeau Sun Legend 41, de la baille à mouillage vers le pont.

 .
Sur le Sun Legend 41, comme dans pas mal de monocoques, le guindeau est placé à l’intérieur de la baille à mouillage. Conséquence, la surface de contact des mailles de la chaîne est faible ainsi que la hauteur libre sous le guindeau. Du coup il est courant que la chaîne saute même avec un barbotin en bon état et la chaîne bourre.

Il fallait donc revoir l’emplacement du guindeau, guindeau qui sert quotidiennement en grand voyage. Nous avons opté pour une découpe du capot de la baille à mouillage afin d’accéder au puits à chaîne facilement. Un moulage de la partie inférieure a été réalisé afin de récupérer le jeux qui existait entre le haut du support et la partie du capot pris en sandwich.

De cette manière le guindeau travaille correctement sur un support quasiment indestructible en époxy, fixé à la baille par des renforts et joints congés avant stratification.

Pour remédier à ce problème, nous avons fait appel à un spécialiste de l’époxy en la personne de Thierry du voilier New Life qui nous a fabriqué sur mesure un renfort costaud et placé le guindeau sur le pont, proprement.

Conséquence, une grande amélioration de l’utilisation du guindeau et la chaîne qui ne bourre plus. Le guindeau est démontable facilement et la baille à mouillage reçoit au besoin une ancre supplémentaire par le gain de place obtenue en sortant le guindeau.

 

Chantier dans les Tuamotu, Apataki accueille des voiliers.

Dans les Tuamotu au coeur de la polynésie dans un atoll existe un chantier permettant la mise au sec des voiliers. Apataki est le nom de l’atoll. Nous avons testé la sortie d’un catamaran de plus de 14 mètres.

Mektoub

Rencontré en 2011 en Polynésie, aux Marquises puis dans les Tuamotu et dans les îles sous le vent, le voilier Mektoub qui s’appelait encore Itsasoan…

A son bord Benoît et Laure qui préparaient un retour vers la métropole en passant par le détroit de Magellan.

mektoub

Nous avons revu Mektoub en Bretagne en Septembre 2014 quelques jours avant le nouveau départ programmé pour la Polynésie. A bord, en plus de Benoît et Laure, un moussaillon de 8 mois, Tom, qui renforcera l’équipage.

On essaiera de suivre la route de cette sympathique jeune famille.P1040067

Zoraostre

Rencontrés dans les îles des Sanblas voici des années, en 2007, Jean Louis et Sylvie Tramber à bord de leur sympathique Biloup de 10 mètres Zoraostre qu’ils ont aménagé à partir d’une coque nue de chantier.

Zoraostre

Zoraostre connaît particulièrement bien les Sanblas pour avoir sillonné nombre de recoins parfois oubliés par les plaisanciers classiques. Le couple partage son temps entre le remplissage de la caisse de bord en Méditerranée et les navigations dans les Caraïbes. Nous les retrouverons avec plaisir des que l’étrave d’Amuitz fendra de nouveau les eaux des Caraïbes…

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De Hendaye à Camarinas en Galice, juillet 2005.

Avant de partir du Pays basque, petite photo prise du haut du mat d’Amuitz… en bas, les copains venus nous souhaiter bon voyage.

 

Grand Pavois Camarinas.
Grand Pavois Camarinas.

Grand pavois pour Amuitz a Camarinas durant les fêtes de la mer.

23 Juillet 2005.

« Amuitz » poursuit sa lente descente vers le sud….

En Galice à Cedeira, Nahia qui nous a accompagné depuis Hendaye a repris le chemin du Pays basque.

Fanfan et Nahia à bord de Amuitz.
Fanfan et Nahia à bord de Amuitz.

C’est justement à Cedeira que nous avons croisé la route de deux bateaux d’aviron de mer qui naviguaient de concert. Nous en avons reconnu un au premier coup d’œil,

Ameriketatik trainière du Pays basque.
Ameriketatik trainière du Pays basque.

c’est « Ameriketatik » la trainière de Pasaia qui retournait au Pays basque en compagnie d’un autre bateau d’aviron.

aviron de mer.
aviron de mer.

Devant Bayona, dans la presque toute dernière baie de Galice, nous avons navigué sur les îles Ciés après avoir doublé l’île Ons.

Iles Ciés Galice.
Iles Ciés Galice.

Nos premiers dauphins nous saluent,

Dauphins
Dauphins

Dauphins en mer.
Dauphins en mer.

les premiers poissons mordent à la ligne.

Premier poisson pêché.
Premier poisson pêché.

Après la Galice, le Portugal est arrivé avec la fin des Rias tellement sympathiques.

Envoi pavillon Portugal.
Envoi pavillon Portugal.

L’occasion de troquer le pavillon espagnol pour le portugais.

Porto.
Porto.

Visite de Porto,

Porto.
Porto.

Dame a Porto.
Dame a Porto.

montée en haut du mat pour les vérifications d’usage et c’est reparti pour le sud.

En tête de mat.
En tête de mat.

19 juillet 2005.

Amuitz et son équipage sont au Portugal.

Première escale a Leixoes après une navigation dans 25 a 35 noeuds mais au portant et a bonne vitesse…

Fanfan dans le gréement.
Fanfan dans le gréement.

José à la barre.
José à la barre.

18 juillet 2005.

Mouillage a Bayona en Galice. En principe le dernier mouillage avant le Portugal. Bayona ville touristique ou Christophe Colomb aurait débarqué après la découverte des « Indes »…

14 juillet 2005.

Amuitz est au mouillage a Cedeira en Galice.

Tout va bien a bord, nous avons rencontre des amis pêcheurs locaux de Cedeira et de Celeiro, l’occasion d’un excellent repas de fruits de mer et bons poissons.