Rencontrés en Colombie fin 2007 puis aux îles San Blas de Panama en 2008, Inma et Roberto, à bord du voilier « Lady Jane », un Morgan 38 de 1977. Acheté en 2000 aux USA, « Lady Jane » fait du charter aux San Blas depuis trois ans.
Lady Jane.
Après le Mexique, Belize, Guatemala, Honduras, Panama et Colombie, Inma originaire du Pays basque sud et Roberto italien bon teint travaillent dans ces îles qu’ils connaissent bien. Le couple sympathique mélange la culture basque et italienne parfaitement. Roberto plonge et chasse ce qu’il veut Inma cuisine désormais avec du piment d’Espelette.
Rencontrés sur l’île de Curaçao en 2007, Matias et Doreen un jeune couple allemand fort sympathique qui navigue à bord de « Vala Bianca » un voiler de 10m en aluminium à bouchains.
Doreen, adepte du Yoga comme Fanfan, attendait alors une naissance qui est arrivée en la personne de Daniel qui renforce désormais l’équipage de « Vela Bianca ». Nous avons retrouvé la famille au complet en mars 2008 aux San Blas en provenance de Colombie.
La suite du voyage dépend des circonstances, leur voilier est à Colon et ils étudient le moyen de le faire rapatrier en Allemagne.
Rencontrés furtivement aux Canaries puis au Capvert en 2005 puis en 2006 au Vénézuéla et en 2007 en Martinique, le « Yakayalé », un Sunfizz de 1984 acheté par Kawa Mahé à Vannes en 2004.
Ce breton accompagné de sa fille Morgane âgée de 12 ans a traversé l’Atlantique en 2005/2006 du Capvert vers le Brésil dans le cadre d’une année sabbatique qu’il a prolongé depuis. Après le Brésil à Salvador de Bahia, « Yakayalé » a rejoint les Caraïbes, le Vénézuéla puis les Antilles françaises ou il cherche à refaire la caisse de bord en travaillant dans le milieu hospitalier qui est sa branche, tandis que Morgane est scolarisée en 6ème aux Trois îlets. Les projets pour Kawa et Morgane, visiter le Brésil par la voie terrestre.
En attendant, ils ont réalisé un blog internet ou l’on peut suivre leurs aventures.
A Carthagène on peut visiter des joailliers, spécialisés dans les émeraudes.
On peut aussi, dans la vieille ville, visiter le musée de l’or
Un superbe bâtiment d’époque, parfaitement restauré, qui propose un aperçu de quelques pièces d’or, oeuvres d’art d’époque, qui ont échappé aux convoitises sans fin des conquistadors
Pour ne pas bavarder inutilement, voici quelques photos prises surplace.
Les équipages des voiliers « Tadorne », « Stelie 4 », « L’oie sauvage 2 » et « Amuitz » se sont retrouvés cette semaine (novembre 2007) à Carthagène en Colombie.
Notre dernière rencontre commune datait de plus d’un an, c’était au Vénézuéla à Cumanà.
Tadorne,Stelie4,l’oie sauvage2,Amuitz.
L’occasion d’une bonne série de soirées à bord avant de voir « L’oie Sauvage 2 » s’envoler le premier, comme souvent.
On va les revoir aux San Blas, rendez-vous étant pris pour passer noël ensemble.
Rencontrés dans les îles des Sanblas voici des années, en 2007, Jean Louis et Sylvie Tramber à bord de leur sympathique Biloup de 10 mètres Zoraostre qu’ils ont aménagé à partir d’une coque nue de chantier.
Zoraostre connaît particulièrement bien les Sanblas pour avoir sillonné nombre de recoins parfois oubliés par les plaisanciers classiques. Le couple partage son temps entre le remplissage de la caisse de bord en Méditerranée et les navigations dans les Caraïbes. Nous les retrouverons avec plaisir des que l’étrave d’Amuitz fendra de nouveau les eaux des Caraïbes…
Après quelques déboires mécaniques, des vents et courants contraires mais nous y sommes.
Fanfan et la nouvelle ville
Pour entrer dans la cité il faut savoir que les espagnols, fondateurs de la ville, avaient bâti un mur barrant l’entrée de la baie afin d’en interdire l’accès et par la même occasion permettant aux « ennemis » de s’échouer sur ce récif sous marin.
Entrée dans Cartagena de las indias.
Heureusement une trouée a été réalisée permettant aux bateaux calant 2 mètre maximum, voir la photo des bouées d’entrée, de passer à travers le piège et éviter ainsi de faire le tour d’une quinzaine de milles. Nous sommes passés bien au milieu avec des fonds de 3,50 mètres
Passe avec 2m de fond.
Carthagène est une grande ville moderne, port de commerce et militaire mais dispose également d’un centre historique superbement restauré. On vous en parlera une fois visité.
Amuitz va bien, mouillé par 13 mètres de fond avec 70 mètres de chaîne, tout prés de la vieille ville restaurée, une réussite architecturale. Quelques photos en vrac.
Rodadero, cité balnéaire touristique pour les colombiens, cité que nous avons atteinte à la voile contre les vents, nous commençons à en avoir l’habitude.
Entrée sur Rodadero.
Mouillés devant la plage côté gauche de celle-ci, nous y avons passé une nuit et profité pour faire quelques courses en ville, des fruits et légumes qui nous faisaient défaut depuis note départ de Aruba.
Eaux brunes.
L’étape suivante est délicate, elle doit nous mener sur le fleuve Magdalena qui charrie les troncs d’arbres et autres détritus en permanence avec d’autant de force que cette saison des pluies qui n’en finit pas a été violente en Colombie causant des morts et d’importants dégâts matériels à l’intérieur du pays.
New Life au mouillage.
Les touristes locaux viennent nous voir en pédale et se font pendre en photo avec Amuitz en second plan. Ils sont étonnés que l’on puisse vivre à bord d’un voiler
Probablement le plus beau mouillage de la cote colombienne jusqu’à présent.
Sur un ensemble de 5 baies, la troisième est de loin la plus protégée de la mer malgré des rafales violentes la nuit.
On y entre facilement de jour comme de nuit, pas de dangers particuliers et l’on peut mouiller sur des fonds de 9 mètres avec 60 mètres de chaîne sans gêner les voisins.
Entrée baie Gairaca.
A terre quelques cahutes qui se veulent des restaurants ou l’on mange du poisson ramené chaque jour par des pêcheurs locaux, une dizaine tout au plus.
En fin de semaine et durant les vacances c’est une zone touristique mais très limitée faisant parti d’un parc national avec des constructions en dur interdites.
Flottille pêche locale.
Une fois pied mis à terre Reinaldo arrive vous accueillir et vous présente sa demeure en planches, modeste comme les autres, il collectionne les souvenirs des voiliers de passage en particulier les cartes de visite. Nous avons ainsi pu retrouver nombre de copains qui étaient passés ici.
Chez Reinaldo.
Thierry de New Life étant à l’article de la mort par manque de Cocacola, nous avons trouvé dans un établissement local la boisson salvatrice qui a requinqué le bonhomme qui n’apprécie guerre d’autres boissons, pas même le Pepsi
New Life et Amuitz au bistrot.Thierry en manque de Coca.
Une petite lagune bien à l’abri au bout d’une langue de sable qu’il faut contourner sans écouter les cartes qui sont fausses sur ce point.
La partie a éviter est située à l’intérieur des 3 points suivants : 10°56.5 N 75°03.15W, 10°56.1N 75°02.9 W, 10°56.9N 075°02W. Suivre ces trois points et vous serez au fond de la lagune mouillés par 4m de fond de vase puante.
L’escale agréable si ce ne sont les moustiques, prévoir un bon produit ou faire comme les locaux, mélange d’huile et de gasoil et ça marche
Accueil à terre.
La baie est super protégée par un avancement sur prés d’un mille. A terre tout est organisé pour accueillir les touristes des cités voisines qui viennent en bus ou voiture les fins de semaines. Des petites paillotes font office de parasols ou l’on peut prendre place et commander boissons fraîches ou bons poissons. Juan Carlos est là pour vous servir, aimable et parlant même le français.
Parasols locaux
La sécurité est assurée par tout le monde mais il ne semble pas qu’il faille craindre sur ce plan.
Nous avons profité quelques jours en attendant le vent pour couper les cheveux de Marvin à la tondeuse, maintenant qu’il est grand (5 ans) il accepte de bon coeur et la coupe lui donne un aire canaille !
Marvin chez la coiffeuse.Marvin, tondu.
Il a appris en quelques minutes le fonctionnement du kayac de Fanfan et s’en débrouille tout seul (sous l’il de Patricia ).
Marvin en Kayac
Avant d’arriver il faut passer par la rivière Magdalena et ses courants. On a eu de la chance car à la place des troncs d’arbre nous avons navigué entre les « patates » de pelouse.
Le « fleuve » Magdalena.
Une trouée dans le ciel et c’est l’occasion de se souvenir des méthodes d’avant le GPS..
Un des endroits qui peuvent être difficiles à passer sur la côte colombienne et qu’il vaut mieux passer bien au large où alors, comme nous l’avons fait, sans trop de vent.
L’approche est sans difficultés, Pointer sur 12°12.45N 72°11.50 W, arrondir la pointe avant de faire cap à l’Ouest et de s’approcher du village de pêcheurs qui se trouve à deux nautiques du cap. Les fonds sont clairs et remontent doucement jusqu’à deux mètres. On peut mouiller plus ou moins prés du cap, tout dépend de l’état de la mer.
Ciel d’Orage
Nous avons mouillé entre la pointe du cap et le village des pêcheurs qui sont venus nous saluer.
Langoustes
Ici les pêcheurs utilisent des barques fines avec des moteurs internes qu’ils lancent en tirant un cordage qu’ils ré enroulent à chaque fois.
Bateaux de pêche.
La différence entre pêcheurs du Vénézuéla et de Colombie est flagrante, au Vénézuéla ils disposent de bateaux fortement motorisés et plus récents qu’en Colombie ou l’on sent que le pêcheur est pauvre pour de vrai.
Nous avons capturé un thazar avec les leurres que nous a envoyés René Ganglof qui les fabrique lui-même et qui va très bientôt faire partie du sérail des navigateurs qui partent en mer pour longtemps Il va naviguer avec son épouse sur un Kendo 43, excellent voilier robuste et fait pour tailler les mers.
Un thasar..
Ses leurres, nous en avons testé un à fond, capturent des dorades Coryphènes et des Thasars mais pas encore de thons.
Le mouillage est tranquille et isolé.
Cartes de la british Hydrographic office N° 2267 C.
Situé dans une immense baie, Puerto Bolivar est un port privé charbonnier. Comme nous étions sans moteur et sans vent permettant de progresser vers l’ouest, nous avons obtenu l’autorisation de mouiller à l’intérieur de l’enceinte du port le temps que les vents tournent à l’est. Nous sommes entrés à la remorque de New Life.
Remorqué par New Life.
L’autorisation était assortie d’une interdiction d’aller à terre, ce qui était compréhensible vu que nous étions au beau milieu d’un port de commerce en pleine activité. Nous sommes restés une semaine, c’est long une semaine sans mettre pied à terre surtout pour Marvin et ses 5 ans ! Les garde côtes étaient là pour s’assurer que nous respections bien les consignes du directeur du port.
Contrôle des douanes.
Du coup nous avons assisté au chargement d’un certain nombre de cargos de 60.000 à 200.000 tonnes, chargements ultra rapides vu que les 200000 tonnes a été chargé en moins de 36 heures entre le moment de son arrivée et de son départ. 3 remorqueurs
portuaires pratiquement neufs sont à poste ainsi qu’un service de pilotage, de lamanage et de plongée sous-marine.
Les charbons de Colombie.
Un dispositif de wagons emmène le charbon sur le port, d’énormes grues à godets chargent des tapis roulants qui serpentent et finissent dans les cales des cargos. Un autre petit quai permet de recevoir un bateau en attente et un second à l’intérieur qui vient livrer du matériel, des conteneurs et autres engins destinés à la mine de charbon.
200.000 tonnes de charbon.
Les cartes météo ont été fidèles à la réalité, la tempête tropicale qui est devenue le cyclone « Noël » a provoqué des vents contraires venant d’ouest, remontant de Panama jusqu’à nous.
Pour passer le temps nous avons décidé de sortir faire un tour en annexe, on n’avait pas le droit d’aller à terre mais rien ne nous interdisait d’aller en annexe Avec Fanfan et Marvin nous avons été pêcher un peu à la traîne.
Pêche à la traîne en annexe.
Une première « touche » a cassé notre ligne et provoqué une belle entaille dans le doit de Fanfan, la seconde ligne mise en service a permis de ramener un superbe Barracuda que Marvin à ferré sans blêmir,
Marvin pêcheur.Et un barracuda…
il faut dire que la bête était un peu plus grande que lui.
Pas rassuré le Marvin de New Life.
Pour ne pas se laisser aller nous avons mangé et bu, du bon pain frais sorti du four et du poisson.
Comme tout arrive un jour, c’est la panne moteur qui cette fois-ci est venu accompagner notre voyage. Nous étions au début de la Colombie quand notre bon Yanmar s’est mis en rideau.
Seuls à Bahia Honda
Bien entendu les vents étaient contraires, le courant aussi et nous étions loin de toute terre habitée par autre chose que pas des indiens qui pêchent sur des troncs d’arbre creusés, mus par des morceaux de voile et des pagaies.
Orages mais pas désespoir.
Fort heureusement nous étions en compagnie du voilier « New Life » qui nous a remorqués à l’intérieur de la baie sauvage Bahia Honda devant laquelle nous étions tombés en panne.
On mouille sous voiles, comme dans le temps…
Orages, remorquage, mouillage à la voile, cela sort de l’ordinaire.
La baie immense n’étant absolument pas protégée des vents d’ouest, nous avons décidé le lendemain de rejoindre Puerto Bolivar à la voile en tirant des bords.
Pour aller des îles ABC (Aruba, Bonnaire et Curaçao) vers la Colombie il y a deux possibilités. Soit partir au large et d’une traite de trois ou 4 jours de mer atteindre la cité de Carthagène située par 10°24 nord et 75°32W, soit faire du cabotage dans un secteur pas toujours évident.
Los Monjes Vénézuéla.
C’est la seconde solution que nous avons choisie, le voilier New Life et nous-mêmes.
New Life
Partis de Aruba le 24 octobre 2007 avec un bon vent portant, nous avons été accompagnés toute la journée par des orages tropicaux importants qui ne nous ont pas lâché une minute ou presque.
Nous avons également pu mettre les lignes de pêche à l’eau, trois poissons nous ont amélioré fortement le menu, une bonite, un thon et une dorade coryphène. Nous avons pu donner du thon à New Life qui avait cassé sa ligne sur du gros.
MaïMaïThonThon.
Sur la route de la Colombie un petit groupuscule d’îlots appelé « los Monjes » permet une halte pour la nuit en demandant l’autorisation aux gardes côtes Vénézuéliens qui occupent la partie la plus occidentale de leur pays.
Particularité de ce « mouillage », on doit s’accrocher à un cordage qui barre la petite baie et mouiller son ancre sur l’arrière ou l’avant selon que l’on choisisse de mouiller face au large ou cul au large.
Mouillage délicat.
Des pêcheurs en profitent pour se reposer comme nous, aux « Monjes » Petit détail qui gâche le séjour, un groupe électrogène qui fournit l’énergie au petit phare et aux besoins des 25 soldats des Gardes côtes, tourne 24h/24 et transforme le mouillage en usine bruyante.
Monjes, ouvert à l’Ouest.
Parfois le vent qui habituellement est de secteur Est passe à l’Ouest en fin de saison cyclonique, ce qui était le cas lors de notre passage. Le mouillage devient alors presque intenable, la mer entre librement dans l’abri qui n’en est plus un. De même nous avons bataillé 45 minutes en pleine nuit pour récupérer notre ancre arrière qui s’était prise dans un câble d’acier qui traînait dans les fonds de 19 mètres.
Colombie toute proche.
Le mouillage des Monjes 12°21N et 70°54W a ne faire qu’avec du vent d’est établi.
Douanes-garde côtes du Vénézuéla.
Les gardes côtes viennent à bord, on va les chercher à terre plus exactement, pour qu’ils effectuent u contrôle de sécurité dans une ambiance détendue avec une bière appréciée par les contrôleurs en uniforme.
Petite navigation à la journée entre une crique de Curaçao, « Santa Krus » ou nous avons passé une nuit au mouillage et l’île de Aruba qui est située à une soixantaine de milles.
Santa krus
La mer était assez belle de trois quarts arrière avec quelques petites vagues bizarres qui avaient tendance à vouloir monter à bord, le tout avec une vingtaine de noeuds de vent.
Nous avons testé notre nouvelle configuration de voiles, génois et solent chacune sur un bord plus grand voile. Ça marche bien avec un seul tangon, le solent tient seul sous le vent.
amuitz voiles ciseaux.
Pas de pêche cette journée malgré deux lignes traînées tout le long, seul un poisson volant a fini par s’échouer à bord, nous l’avons trouvé lors de la préparation de la ligne de mouillage à Aruba.
New Life
New Life était là, et c’est Marvin qui a hérité de l’exocet qu’il compte disséquer à l’aide d’une pince « Brussel », appellation helvète toujours aussi intéressante pour notre pince à épiler
Raffineries d’Aruba…
Aruba c’est deux choses, une grande raffinerie de pétrole avec son port de commerce et un immense hôtel (plusieurs même) avec leurs casinos et cohorte de touristes aisés.
Nous allons y passer quelques jours le temps d’une bonne fenêtre météo pour la Colombie car le secteur est assez délicat.
Rencontrés au Vénézuéla en mai 2007, à Margarita puis plus longuement sur l’île de la Tortuga, José et Betty Lianes à bord d’un superbe cata Soubise 50.
Nan Fong
Ces hauts savoyards, grands voyageurs, en sont à leur troisième bateau, après un Edel 6,50 et un Feeling 9,20m ils ont opté pour le grand saut en commandant un Catamaran dessiné par Eric Lerouge et construit par le chantier Soubise de Charente.
Nan Fong
Mis à l’eau en mai 2004, « Nan Fong » (Vent du Sud) en Mandarin reste une unité bien finie avec toutes les qualités marines des plans Lerouge. En 2004 le voilier descend le golfe de Gascogne pour aller en Méditerranée et terminer sa préparation notamment en Tunisie. En 2005 les voiles sont envoyées bien haut, Canaries pour rejoindre le rallye des îles du soleil (en vue de l’Amazone), le Capvert, Sénégal, Salvador de Bahia au Brésil puis la remontée sur Fernando de Noronha, l’Amazone, Belem et ensuite la remontée vers l’arc Antillais en passant par la Guyane, Tobago et Trinidad, les grenadines, le Vénézuéla avec ses îles avant un stop à terre le temps de visiter une partie du Brésil par la terre. 206/2007 de nouveau les îles du Vénézuéla, le nord des petites Antilles puis un stop au marin en Martinique pour bien préparer le passage prochain dans le Pacifique. « Nan Fong » va entrer en carénage dans quelques jours, l’occasion pour Betty et José de retourner en France avant de voguer vers les ABC, Colombie, Sanblas et Panama, porte vers le Pacifique qu’ils prévoient de franchir en février prochain. Si tout se confirme, ce sont quatre catamarans qui vogueront de concert vers les Galapagos, Gambiers, Marquises, Raytéa etc.
Le tour du monde se poursuivra par les Fidji, Nouvelle Calédonie, Australie, Singapour, Taylande, Maldives et la mer rouge, porte pour la Méditerranée prévue en 2012.
D’ici là nous aurons plaisir à les retrouver dans un des derniers mouillages des Caraïbes, peut être aux Sanblas ?
Nous venons de traverser le canal de Panama sur leur voilier, Nan Fong est a Panama City, fin janvier 2008.
Et sont passés en Polynésie septembre 2008 et ont bouclé le tour du monde.
Rencontrés aux Avés de sotavento (Vénézuéla) en mai 2007, le Catamaran « My Lou » un Catana 381 de 1997 version propriétaire qui revient d’une virée intéressante et remonte à contre sens les Caraïbes (comme quoi c’est faisable) en venant de l’archipel des San Blas.
Mylou
Philippe et Nadine partis de Toulon en 2004 ont passé un an en Afrique, traversé l’Atlantique et navigué au Vénézuéla avant de se rendre à Panama et aux îles de San Blas. En ce moment le voilier rentre sur les Antilles françaises ou il sera mis en vente tout équipé grand voyage et plongée, une bonne opportunité pour une unité éprouvée et prête pour le grand départ.
Rencontrés au Vénézuéla en mai 2007 sur l’île de la Tortuga puis dans les îles Avés plus à l’ouest, le sympathique équipage de « Zingaya » un « zeus » de 44 pieds qui porte bien ses années vu qu’il a été construit dans le sud ouest de la France en 1981.
Zingaya
Acheté par Benoît et Marie Laure en 2005 au Marin en Martinique, la famille avec leurs trois enfants ont déjà à leur actif une double traversée de l’Atlantique en 2006. Des Antilles à Camaret en passant par les Açores puis dans la foulée une redescente du golfe de Gascogne, Madère, Canaries et traversée pour rejoindre les Antilles. Le projet prévoit une belle balade en compagnie de Zoé (6 ans) Arthur (12 ans) et Tom (14 ans). « Zingaya » (nom d’une chanson pour enfants de Guadeloupe) va se rendre à Cuba pour redescendre sur le Panama en Août.
Zingaya
Benoît est un adepte et grand défenseur du rhum Bologne de Guadeloupe, inutile d’essayer de lui faire boire un Ti-punch composé d’un autre rhum que le fameux Bologne en question.
Les enfants étant scolarisés au CNED un rendez vous est dors et déjà pris pour septembre prochain en Polynésie pour récupérer les cours du CNED pour l’année. Fin 2008 un arrêt est programmé à Nouméa, là encore la scolarité prend le dessus d’autant que Marie Laure et Benoît étaient enseignants avant de changer de vie. Si vous cherchez des cours du CNED de 5ème et seconde ou si vous avez les livres de 4ème et 1ère, n’hésitez pas à les contacter. Un site internet est là pour faciliter les choses : www.lelanet.net/zingaya
Avril 2008 en mer entre les Marquises et les Gambiers.
2009 broker à Raiatea.
2012 de nouveau sur l’eau en voyage… dans le Pacifique.
Rencontrés à Curaçao en octobre 2007 dans les îles néerlandaises ABC, Isabelle et Guy Breard à bord de leur Ovni 395 « Pro’s Per Aim ».
Prosper aim
En route pour un long voyage vers le Pacifique, indien etc.. qui pourrait faire un tour du monde et demi, Isabelle et Guy ont choisi cette unité construite par Alubat et livrée fin 2005. Bien avisés, ils ont choisi de naviguer beaucoup durant la première année afin de tester les défauts de jeunesse et la garantie Alubat. Bien leur en a pris car la liste des diverses pannes en tout genre a de quoi faire réfléchir sur la politique interne d’Alubat. Début janvier 2006, ils quittent les Sables d’Olonne pour la Méditerranée, la Crète et un retour aux Sables en été pour régler quelques soucis de gréement. Il faut dire qu’avec 6000 nautiques au compteur en 6 mois, ils ont testé la bête !
Prosper aim
Septembre 2006 c’est le départ pour la traversée de l’Atlantiques, Madère, Canaries et Martinique. Après une saison d’hiver dans les petites Antilles, c’est la descente vers le Vénézuéla et ses îles avant de passer par Curaçao pour la saison cyclonique 2007.
L’objectif pour Isabelle et Guy est de mener à bien leur tour et demi du monde en passant par Panama en janvier 2008 puis les marquises en avril pour pouvoir profiter d’une année en Polynésie française. En 2009 ce sera le tour des îles Cook puis les Tonga, 2010 la Nouvelle Zélande etc…
Après un premier tour du monde, ils viennent d’en entamer un second. Ils sont dans les petites Antilles en février 2012.
Suite à un cancer des os, attrapé par Guy, « Pro’s Per Aim » a été vendu fin août 2012 à Curaçao.
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